Des dispositions réglementaires obligatoires, relative au handicap, s’appliquent à la construction de maison individuelle destinée à la vente ou à la location.
La ventilation est une obligation légale pour tous les logements construits après 1982. Les textes imposent notamment « une aération générale et permanente ». La circulation d’air doit se faire depuis des entrées d’air situées dans les pièces principales et les sorties dans les pièces de service.
Des débits réglementaires sont exigés :
Depuis le 1er janvier 2009, en cas de vente de logement, il est nécessaire que le vendeur fournisse à l’acquéreur un état relatif à l’installation intérieure d’électricité si celle-ci a plus de 15 ans.
Réalisé sur l’ensemble de l’installation électrique privative des locaux à usage d’habitation et de leurs dépendances, ce diagnostic doit dater de moins de 3 ans et être joint au dossier de diagnostic technique (annexé à la promesse de vente ou à défaut de promesse, à l’acte authentique). Etabli par un professionnel, l’état de l’installation intérieure d’électricité vérifie notamment l’existence et les caractéristiques :
D’un appareil général de commande et de protection, ainsi que de son accessibilité : On ne peut pas placer le compteur à n’importe quelle hauteur. Le compteur doit être accessible rapidement en cas d’accident (électrocution).
D’au moins un dispositif différentiel de sensibilité appropriée aux conditions de mise à la terre, à l’origine de l’installation électrique (vérification du bon raccordement à la terre : ce système est parfois absent ou abîmé dans des vieilles habitations).
D’un dispositif de protection contre les surintensités (soit du fournisseur : rare / soit élément météo : foudre…).
D’une installation électrique adaptée aux conditions particulières des locaux contenant une baignoire ou une douche (respect du protocole NFC 15 100). Exemple : distance de sécurité à respecter (selon les volumes définis).
C’est ce que prévoit en particulier un décret publié au Journal officiel du jeudi 24 avril 2008.
Source : service-public.fr
Depuis quelques années, le détecteur de fumée fait l’objet de débats et questions. La loi a tranché : ils sont obligatoires depuis le 8 mars 2015. Notre recommandation : OUI, il est nécessaire d’en installer un dès maintenant pour 3 raisons :
Un arrêté publié au Journal officiel du jeudi 14 mars 2013 précise les exigences auxquelles doivent répondre les détecteurs de fumée normalisés installés dans chaque logement, les conditions de leur installation, de leur entretien et de leur fonctionnement. Tout lieu d’habitation devra en effet être équipé d’un détecteur autonome avertisseur de fumée (DAAF) depuis le 8 mars 2015.
L’installation d’un détecteur de fumée doit permettre :
Caractéristiques exigées :
Attention : les détecteurs de fumée utilisant l’ionisation sont interdits, car ils sont radioactifs.
Le détecteur de fumée doit être installé :
Le détecteur doit être :
Le locataire ou le propriétaire ou l’organisme doit notifier cette installation par la remise d’une attestation à l’assureur avec lequel il a conclu un contrat garantissant les dommages d’incendie. L’assureur peut refuser d’assurer un logement qui n’est pas équipé de détecteur(s) de fumée.
L’occupant ou le propriétaire bailleur ou l’organisme doit :
Les travaux de rénovation réalisés par une entreprise dans un logement ancien bénéficient de taux de TVA réduits, sous certaines conditions. La TVA au taux réduit de 5,5% ou au taux intermédiaire de 10%, au lieu du taux normal à 20% est réservée au travaux d’amélioration, de transformation, d’aménagement et d’entretien sur les logements d’habitation achevés depuis plus de 2 ans.
Le taux de TVA est de 10% pour les travaux d’amélioration, de transformation, d’aménagement ou d’entretien.
Le taux de TVA est de 5,5% pour les travaux de rénovation ou d’amélioration énergétique.
Les locaux doivent être :
Si le logement ne remplit pas ces conditions, les travaux sont soumis au taux normal de 20%.
Il peut s’agir de types de logement suivants :
Le client des travaux peut en être :
Une agence immobilière qui fait procéder à des travaux sur une habitation qu’elle met en location, ou un marchand de biens qui destine ces locaux à la revente, peut également en bénéficier, en qualité de représentant dûment mandaté du propriétaire.
La TVA au taux intermédiaire ou réduit ne peut pas être appliquée :
Dans tous ces cas, c’est le taux normal de 20 % qui doit s’appliquer.
Le taux intermédiaire ou réduit est également exclu pour les travaux importants qui constituent plus qu’une simple rénovation :
Le client doit attester de l’application du taux intermédiaire ou réduit aux travaux effectués par l’entreprise : il n’est possible de facturer au taux intermédiaire ou réduit que si une attestation, qui confirme le respect des conditions d’application sur la période de 2 ans, est remise au professionnel avant la facturation.
À chaque intervention d’un prestataire de travaux, l’attestation doit être remplie par la personne qui fait effectuer les travaux (qui est le client des prestataires) : propriétaire occupant ou bailleur, locataire, syndicat de copropriétaires, etc.
Si plusieurs prestataires interviennent sur le chantier, un original de l’attestation doit être remis à chacun d’eux.
L’attestation est obligatoire uniquement pour les travaux dont le montant dépasse 300 € TTC
En dessous de ce montant, doivent figurer sur la facture les informations suivantes :
L’attestation, ainsi que toutes les factures et notes émises par les entreprises prestataires, doit être conservée pour permettre de justifier de la facturation à taux réduit ou intermédiaire de la TVA jusqu’à la fin de la 5e année suivant les travaux.
Si, par exemple, les travaux ont été achevés en 2015, l’attestation doit être conservée jusqu’au 31 décembre 2020.
Le prestataire de travaux peut conserver sous un format électronique reproduisant, à l’identique et durablement, l’original du document remis par le client et ne pouvant faire l’objet de modification.
Il est admis qu’une chasse d’eau qui fuit en faisant du bruit vous fait perdre jusqu’à 25 litres par heure, soit 600L par jour ! Cela peut donc vous faire consommer jusqu’à 220m3 par an. Le coût moyen d’un m3 d’eau est de 2,04 € en France en 2017, soit environ 440 € de dépense supplémentaire si la fuite n’est pas réparée.
Il est conseillé de faire des relevés fréquents afin de vous assurez que le compteur d’eau ne note pas de consommation excessive. Vous pouvez par exemple noter l’index de votre compteur le soir en allant vous coucher et le vérifier le lendemain matin au réveil. Vous pouvez également vérifier de temps en temps les lieux probables de fuite : chasse d’eau, robinets et soupapes de sécurité…
Cela peut arriver dans différents.
Dans tous les cas, mieux vaut changer votre chauffe-eau ancien quand vous faites une rénovation. Les nouveaux appareils sont de plus en plus performants et permettent des économies d’énergie.
C’est la panne la plus fréquente sur un chauffe-eau. Fuite au niveau du groupe de sécurité : si la fuite se fait en dehors de la période de chauffe (où un goutte à goutte est normal) et que votre chauffe-eau est ancien (plus de 10 ans en général), il faudra sans doute le changer : il risque de ne plus être étanche.
Eviter le dégât des eaux !
Mettez des bassines ou serviettes en-dessous le temps qu’il se vide. Couper l’eau… il se peut en effet qu’il se remplisse à nouveau ! Appelez un plombier si le problème vient de la cuve, ou mettez vous-même un joint d’étanchéité si le problème s’écoule de la bride. Si le problème ne vient pas de là, il s’agit peut-être d’un problème de raccordement et un professionnel est recommandé (fuite sur votre tuyauterie en plomb ou cuivre / mauvais raccordement au système).
En cas d’absence d’eau chaude, il convient de vérifier plusieurs choses :
Si le chauffe-eau ne fonctionne toujours pas, il est nécessaire d’appeler un professionnel.
La VMC double flux limite les pertes de chaleur liées à la ventilation :
Les principaux avantages de la VMC double flux sont :
Les inconvénients de la VMC double flux :
La VMC simple flux est le système de ventilation le plus couramment utilisé dans les logements. Elle peut être auto-réglable ou hygro-réglable. Il peut également s’agir d’une VMC gaz, qui assure l’évacuation des produits de combustion (chaudière, chauffe-eau à gaz) en même temps que l’air vicié, et ce par le même réseau.
Dans les deux cas, l’air neuf pénètre dans le logement par des entrées d’air situées au dessus des fenêtres des pièces de vie (séjour, chambres). L’air vicié est extrait dans les pièces humides (cuisine, salle de bains, WC) par des bouches reliées à un groupe de ventilation. Contrairement à une VMC double flux, l’air entrant n’est ni préchauffé ni filtré.
Principe de la VMC simple flux auto-réglable :
Basique, la VMC auto-réglable se compose d’entrées d’air auto-réglables (dans les pièces principales), de bouches d’extraction (dans les pièces de service), d’un moteur compact muni d’un ventilateur, le tout relié par des gaines.
Son débit est constant et doit être fixé dès la conception du bâtiment, an anticipant au mieux l’usage du logement et le nombre d’habitants prévisibles.
Solution économique à l’installation, la VMC simple flux auto-réglable présente l’inconvénient de ne pas tenir compte des conditions ni extérieurs (vent, pluie,…) ni intérieures (nombre d’occupants, humidité…)
La vraie douche à l’italienne affleure au sol de la salle de bains et, habillée du même carrelage, ne laissant voir que sa bonde d’évacuation. Elle suppose une rénovation globale de l’espace bain. S’offrir une douche de plain-pied nécessite d’encastrer le siphon et la canalisation d’évacuation dans le plancher, d’assurer un écoulement rapide de l’eau et une étanchéité parfaite de la zone.
Aussi, dans nombres d’immeubles, il est impossible d’en poser une affleurante au sol à cause de la hauteur de la bonde et de la pente nécessaire pour permettre l’évacuation des eaux.
Nous proposons ces solutions visibles dans la partie salle de bain. Nous faisons une marche pour accéder au collecteur d’eau (plusieurs matériaux sont possibles : béton / carrelages / mosaïque…). Cela reste conforme à l’esprit douche italienne et donne à la salle de bain une élégance certaine.
Un plancher chauffant est installé sous une dalle de béton. Il est constitué de canalisation spécifiques qui circulent en-dessous de cette dalle. En hiver, la dalle emmagasine la chaleur et la restitue par rayonnement.
En été, le réseau est alimenté en eau froide et permet de maintenir une inertie thermique. Le sol est plus frais, la chaleur baisse donc. C’est un système basse température, généralement de 21°C à 24°C.
Parmi les avantages :
C’est un système de choix pour vos habitations quand le sol permet de l’intégrer. Il est également possible d’intégrer ce type de chauffage sous les parquets (en pose collée), les revêtements de sol souples (moquette, PVC…), et bien sur les revêtements de sol durs (carrelage, marbre,…).
Toutes les entreprises qui travaillent avec les bétons cirés ont un assortiment de couleurs de base avec plus ou moins de choix. Les gammes de couleurs dépendent en général de la demande des clients car la variété de tons est presque infinie.
Il est possible d’obtenir une grande variété de couleurs même très vives, mais ces couleurs répondent à des spécificités et des contraintes particulières en fonction du type de pigment utilisé. En général les couleurs les plus vives seront obtenues à partir des pigments organiques. Les plus résistantes sont faites au contraire avec des pigments minéraux. Nous travaillons avec le béton ciré Mercadier, d’excellente qualité, surtout si il est bien appliqué.
Ce revêtement est très facile à poser sur les murs en plâtre. Certaines personnes vous conseilleront d’appliquer une couche de régulateur d’adhérence pour gagner du temps et dépenser moins de matière première. Vous pouvez aussi enduire votre mur d’une fiche couche que vous ne laisserez pas sécher avec une taloche en plastique. Pour les couches suivantes vous utiliserez normalement la taloche en acier.
Le tadelakt s’entretient avec une éponge et du savon noir que l’on aura dilué dans de l’eau. Le savon noir nettoie et nourrit le tadelakt, il le refait briller. Le tadelakt d’un pH élevé, est fongicide et anti-bactérien. On passera ensuite un chiffon sec. Ne jamais utiliser de produits acides, anti-calcaire, le tadelakt est chimiquement redevenu du calcaire.
L’entretien du béton ciré est vraiment des plus faciles. Le plus souvent vous n’aurez besoin de rien de plus qu’un chiffon humide. Si vous le posez dans une cuisine vous aurez peut-être besoin de nettoyer des matières grasses. Dans ce cas il vous suffira d’utiliser de l’eau savonneuse.
Par ailleurs, il est recommandé de ne pas utiliser des objets abrasifs comme les éponges à gratter ou les grattoirs métalliques. Si vous le souhaitez vous avez la possibilité d’utiliser des cires pour l’entretien des surfaces de béton ciré. Vous aurez alors des sols extrêmement brillants. Vous pouvez appliquer la cire avec la même fréquence et dans les mêmes conditions que s’il s’agissait d’un plancher un bois. C’est-à-dire en fonction du passage et de l’éclat que vous voudrez.
La couleur du bois est la première chose qui vient à l’esprit lorsqu’on choisit un parquet. La couleur claire donne une impression d’espace et de lumière. Un sol foncé donne une sensation de chaleur et d’intimité.
Qu’elle soit claire ou foncée, la couleur d’un parquet évolue avec le temps. L’action des rayons ultra-violets modifie la teinte du bois neuf qui aura d’ailleurs déjà subi une première transformation lors du vernissage. Les bois clairs évoluent vers les tons chauds, ils s’assombrissent un peu, certains jaunissent sensiblement. Les bois tropicaux ont tendance à brunir ou à rougir. Quelques essences s’éclaircissent à la lumière du jour, comme le wengé et le palissandre. Le déplacement d’un tapis sur un parquet neuf après quelques semaines révèle nettement le phénomène d’oxydation du bois. La surface découverte, plus claire, reprendra en un ou deux mois la couleur générale du parquet. Un simple ponçage de la surface permet de retrouver la teinte d’origine du bois avant oxydation.
Si les montants de vos fenêtres sont en en bon état, vous pouvez poser du :
Avantages : ne nécessite pas de travaux lourds.
Inconvénients :
Moins efficace qu’une nouvelle fenêtre.
Idéalement, choisissez le VIR : double Vitrage à Isolation Renforcée :
La climatisation sert à rafraichir l’air, mais pas seulement. Elle assure un équilibre parfait de la température, de l’air frais, de l’humidité, et purifie l’air, vous permettant ainsi d’avoir un confort parfait tout au long de l’année.
Cependant, à cause du prix des énergies et des préoccupations toujours croissantes pour l’environnement, la climatisation doit avoir une forte efficacité énergétique.
Les travaux de rénovation réalisés par une entreprise dans un logement ancien bénéficient de taux de TVA réduits, sous certaines conditions. La TVA au taux réduit de 5,5% ou au taux intermédiaire de 10%, au lieu du taux normal à 20% est réservée au travaux d’amélioration, de transformation, d’aménagement et d’entretien sur les logements d’habitation achevés depuis plus de 2 ans.
Le taux de TVA est de 10% pour les travaux d’amélioration, de transformation, d’aménagement ou d’entretien.
Le taux de TVA est de 5,5% pour les travaux de rénovation ou d’amélioration énergétique.
Les locaux doivent être :
Si le logement ne remplit pas ces conditions, les travaux sont soumis au taux normal de 20%.
Il peut s’agir de types de logement suivants :
Le client des travaux peut en être :
Une agence immobilière qui fait procéder à des travaux sur une habitation qu’elle met en location, ou un marchand de biens qui destine ces locaux à la revente, peut également en bénéficier, en qualité de représentant dûment mandaté du propriétaire.
La TVA au taux intermédiaire ou réduit ne peut pas être appliquée :
Dans tous ces cas, c’est le taux normal de 20 % qui doit s’appliquer.
Le taux intermédiaire ou réduit est également exclu pour les travaux importants qui constituent plus qu’une simple rénovation :
Le client doit attester de l’application du taux intermédiaire ou réduit aux travaux effectués par l’entreprise : il n’est possible de facturer au taux intermédiaire ou réduit que si une attestation, qui confirme le respect des conditions d’application sur la période de 2 ans, est remise au professionnel avant la facturation.
À chaque intervention d’un prestataire de travaux, l’attestation doit être remplie par la personne qui fait effectuer les travaux (qui est le client des prestataires) : propriétaire occupant ou bailleur, locataire, syndicat de copropriétaires, etc.
Si plusieurs prestataires interviennent sur le chantier, un original de l’attestation doit être remis à chacun d’eux.
L’attestation est obligatoire uniquement pour les travaux dont le montant dépasse 300 € TTC
En dessous de ce montant, doivent figurer sur la facture les informations suivantes :
L’attestation, ainsi que toutes les factures et notes émises par les entreprises prestataires, doit être conservée pour permettre de justifier de la facturation à taux réduit ou intermédiaire de la TVA jusqu’à la fin de la 5e année suivant les travaux.
Si, par exemple, les travaux ont été achevés en 2015, l’attestation doit être conservée jusqu’au 31 décembre 2020.
Le prestataire de travaux peut conserver sous un format électronique reproduisant, à l’identique et durablement, l’original du document remis par le client et ne pouvant faire l’objet de modification.
Il est admis qu’une chasse d’eau qui fuit en faisant du bruit vous fait perdre jusqu’à 25 litres par heure, soit 600L par jour ! Cela peut donc vous faire consommer jusqu’à 220m3 par an. Le coût moyen d’un m3 d’eau est de 2,04 € en France en 2017, soit environ 440 € de dépense supplémentaire si la fuite n’est pas réparée.
Il est conseillé de faire des relevés fréquents afin de vous assurez que le compteur d’eau ne note pas de consommation excessive. Vous pouvez par exemple noter l’index de votre compteur le soir en allant vous coucher et le vérifier le lendemain matin au réveil. Vous pouvez également vérifier de temps en temps les lieux probables de fuite : chasse d’eau, robinets et soupapes de sécurité…
Cela peut arriver dans différents.
Dans tous les cas, mieux vaut changer votre chauffe-eau ancien quand vous faites une rénovation. Les nouveaux appareils sont de plus en plus performants et permettent des économies d’énergie.
C’est la panne la plus fréquente sur un chauffe-eau. Fuite au niveau du groupe de sécurité : si la fuite se fait en dehors de la période de chauffe (où un goutte à goutte est normal) et que votre chauffe-eau est ancien (plus de 10 ans en général), il faudra sans doute le changer : il risque de ne plus être étanche.
Eviter le dégât des eaux !
Mettez des bassines ou serviettes en-dessous le temps qu’il se vide. Couper l’eau… il se peut en effet qu’il se remplisse à nouveau ! Appelez un plombier si le problème vient de la cuve, ou mettez vous-même un joint d’étanchéité si le problème s’écoule de la bride. Si le problème ne vient pas de là, il s’agit peut-être d’un problème de raccordement et un professionnel est recommandé (fuite sur votre tuyauterie en plomb ou cuivre / mauvais raccordement au système).
En cas d’absence d’eau chaude, il convient de vérifier plusieurs choses :
Si le chauffe-eau ne fonctionne toujours pas, il est nécessaire d’appeler un professionnel.
Un plancher chauffant est installé sous une dalle de béton. Il est constitué de canalisation spécifiques qui circulent en-dessous de cette dalle. En hiver, la dalle emmagasine la chaleur et la restitue par rayonnement.
En été, le réseau est alimenté en eau froide et permet de maintenir une inertie thermique. Le sol est plus frais, la chaleur baisse donc. C’est un système basse température, généralement de 21°C à 24°C.
Parmi les avantages :
C’est un système de choix pour vos habitations quand le sol permet de l’intégrer. Il est également possible d’intégrer ce type de chauffage sous les parquets (en pose collée), les revêtements de sol souples (moquette, PVC…), et bien sur les revêtements de sol durs (carrelage, marbre,…).
Toutes les entreprises qui travaillent avec les bétons cirés ont un assortiment de couleurs de base avec plus ou moins de choix. Les gammes de couleurs dépendent en général de la demande des clients car la variété de tons est presque infinie.
Il est possible d’obtenir une grande variété de couleurs même très vives, mais ces couleurs répondent à des spécificités et des contraintes particulières en fonction du type de pigment utilisé. En général les couleurs les plus vives seront obtenues à partir des pigments organiques. Les plus résistantes sont faites au contraire avec des pigments minéraux. Nous travaillons avec le béton ciré Mercadier, d’excellente qualité, surtout si il est bien appliqué.
Ce revêtement est très facile à poser sur les murs en plâtre. Certaines personnes vous conseilleront d’appliquer une couche de régulateur d’adhérence pour gagner du temps et dépenser moins de matière première. Vous pouvez aussi enduire votre mur d’une fiche couche que vous ne laisserez pas sécher avec une taloche en plastique. Pour les couches suivantes vous utiliserez normalement la taloche en acier.
Le tadelakt s’entretient avec une éponge et du savon noir que l’on aura dilué dans de l’eau. Le savon noir nettoie et nourrit le tadelakt, il le refait briller. Le tadelakt d’un pH élevé, est fongicide et anti-bactérien. On passera ensuite un chiffon sec. Ne jamais utiliser de produits acides, anti-calcaire, le tadelakt est chimiquement redevenu du calcaire.
L’entretien du béton ciré est vraiment des plus faciles. Le plus souvent vous n’aurez besoin de rien de plus qu’un chiffon humide. Si vous le posez dans une cuisine vous aurez peut-être besoin de nettoyer des matières grasses. Dans ce cas il vous suffira d’utiliser de l’eau savonneuse.
Par ailleurs, il est recommandé de ne pas utiliser des objets abrasifs comme les éponges à gratter ou les grattoirs métalliques. Si vous le souhaitez vous avez la possibilité d’utiliser des cires pour l’entretien des surfaces de béton ciré. Vous aurez alors des sols extrêmement brillants. Vous pouvez appliquer la cire avec la même fréquence et dans les mêmes conditions que s’il s’agissait d’un plancher un bois. C’est-à-dire en fonction du passage et de l’éclat que vous voudrez.
La couleur du bois est la première chose qui vient à l’esprit lorsqu’on choisit un parquet. La couleur claire donne une impression d’espace et de lumière. Un sol foncé donne une sensation de chaleur et d’intimité.
Qu’elle soit claire ou foncée, la couleur d’un parquet évolue avec le temps. L’action des rayons ultra-violets modifie la teinte du bois neuf qui aura d’ailleurs déjà subi une première transformation lors du vernissage. Les bois clairs évoluent vers les tons chauds, ils s’assombrissent un peu, certains jaunissent sensiblement. Les bois tropicaux ont tendance à brunir ou à rougir. Quelques essences s’éclaircissent à la lumière du jour, comme le wengé et le palissandre. Le déplacement d’un tapis sur un parquet neuf après quelques semaines révèle nettement le phénomène d’oxydation du bois. La surface découverte, plus claire, reprendra en un ou deux mois la couleur générale du parquet. Un simple ponçage de la surface permet de retrouver la teinte d’origine du bois avant oxydation.
Des dispositions réglementaires obligatoires, relative au handicap, s’appliquent à la construction de maison individuelle destinée à la vente ou à la location.
La VMC double flux limite les pertes de chaleur liées à la ventilation :
Les principaux avantages de la VMC double flux sont :
Les inconvénients de la VMC double flux :
La VMC simple flux est le système de ventilation le plus couramment utilisé dans les logements. Elle peut être auto-réglable ou hygro-réglable. Il peut également s’agir d’une VMC gaz, qui assure l’évacuation des produits de combustion (chaudière, chauffe-eau à gaz) en même temps que l’air vicié, et ce par le même réseau.
Dans les deux cas, l’air neuf pénètre dans le logement par des entrées d’air situées au dessus des fenêtres des pièces de vie (séjour, chambres). L’air vicié est extrait dans les pièces humides (cuisine, salle de bains, WC) par des bouches reliées à un groupe de ventilation. Contrairement à une VMC double flux, l’air entrant n’est ni préchauffé ni filtré.
Principe de la VMC simple flux auto-réglable :
Basique, la VMC auto-réglable se compose d’entrées d’air auto-réglables (dans les pièces principales), de bouches d’extraction (dans les pièces de service), d’un moteur compact muni d’un ventilateur, le tout relié par des gaines.
Son débit est constant et doit être fixé dès la conception du bâtiment, an anticipant au mieux l’usage du logement et le nombre d’habitants prévisibles.
Solution économique à l’installation, la VMC simple flux auto-réglable présente l’inconvénient de ne pas tenir compte des conditions ni extérieurs (vent, pluie,…) ni intérieures (nombre d’occupants, humidité…)
Si les montants de vos fenêtres sont en en bon état, vous pouvez poser du :
Avantages : ne nécessite pas de travaux lourds.
Inconvénients :
Moins efficace qu’une nouvelle fenêtre.
Idéalement, choisissez le VIR : double Vitrage à Isolation Renforcée :
La climatisation sert à rafraichir l’air, mais pas seulement. Elle assure un équilibre parfait de la température, de l’air frais, de l’humidité, et purifie l’air, vous permettant ainsi d’avoir un confort parfait tout au long de l’année.
Cependant, à cause du prix des énergies et des préoccupations toujours croissantes pour l’environnement, la climatisation doit avoir une forte efficacité énergétique.
La ventilation est une obligation légale pour tous les logements construits après 1982. Les textes imposent notamment « une aération générale et permanente ». La circulation d’air doit se faire depuis des entrées d’air situées dans les pièces principales et les sorties dans les pièces de service.
Des débits réglementaires sont exigés :
La vraie douche à l’italienne affleure au sol de la salle de bains et, habillée du même carrelage, ne laissant voir que sa bonde d’évacuation. Elle suppose une rénovation globale de l’espace bain. S’offrir une douche de plain-pied nécessite d’encastrer le siphon et la canalisation d’évacuation dans le plancher, d’assurer un écoulement rapide de l’eau et une étanchéité parfaite de la zone.
Aussi, dans nombres d’immeubles, il est impossible d’en poser une affleurante au sol à cause de la hauteur de la bonde et de la pente nécessaire pour permettre l’évacuation des eaux.
Nous proposons ces solutions visibles dans la partie salle de bain. Nous faisons une marche pour accéder au collecteur d’eau (plusieurs matériaux sont possibles : béton / carrelages / mosaïque…). Cela reste conforme à l’esprit douche italienne et donne à la salle de bain une élégance certaine.
Depuis le 1er janvier 2009, en cas de vente de logement, il est nécessaire que le vendeur fournisse à l’acquéreur un état relatif à l’installation intérieure d’électricité si celle-ci a plus de 15 ans.
Réalisé sur l’ensemble de l’installation électrique privative des locaux à usage d’habitation et de leurs dépendances, ce diagnostic doit dater de moins de 3 ans et être joint au dossier de diagnostic technique (annexé à la promesse de vente ou à défaut de promesse, à l’acte authentique). Etabli par un professionnel, l’état de l’installation intérieure d’électricité vérifie notamment l’existence et les caractéristiques :
D’un appareil général de commande et de protection, ainsi que de son accessibilité : On ne peut pas placer le compteur à n’importe quelle hauteur. Le compteur doit être accessible rapidement en cas d’accident (électrocution).
D’au moins un dispositif différentiel de sensibilité appropriée aux conditions de mise à la terre, à l’origine de l’installation électrique (vérification du bon raccordement à la terre : ce système est parfois absent ou abîmé dans des vieilles habitations).
D’un dispositif de protection contre les surintensités (soit du fournisseur : rare / soit élément météo : foudre…).
D’une installation électrique adaptée aux conditions particulières des locaux contenant une baignoire ou une douche (respect du protocole NFC 15 100). Exemple : distance de sécurité à respecter (selon les volumes définis).
C’est ce que prévoit en particulier un décret publié au Journal officiel du jeudi 24 avril 2008.
Source : service-public.fr
Depuis quelques années, le détecteur de fumée fait l’objet de débats et questions. La loi a tranché : ils sont obligatoires depuis le 8 mars 2015. Notre recommandation : OUI, il est nécessaire d’en installer un dès maintenant pour 3 raisons :
Un arrêté publié au Journal officiel du jeudi 14 mars 2013 précise les exigences auxquelles doivent répondre les détecteurs de fumée normalisés installés dans chaque logement, les conditions de leur installation, de leur entretien et de leur fonctionnement. Tout lieu d’habitation devra en effet être équipé d’un détecteur autonome avertisseur de fumée (DAAF) depuis le 8 mars 2015.
L’installation d’un détecteur de fumée doit permettre :
Caractéristiques exigées :
Attention : les détecteurs de fumée utilisant l’ionisation sont interdits, car ils sont radioactifs.
Le détecteur de fumée doit être installé :
Le détecteur doit être :
Le locataire ou le propriétaire ou l’organisme doit notifier cette installation par la remise d’une attestation à l’assureur avec lequel il a conclu un contrat garantissant les dommages d’incendie. L’assureur peut refuser d’assurer un logement qui n’est pas équipé de détecteur(s) de fumée.
L’occupant ou le propriétaire bailleur ou l’organisme doit :